Impressions new-yorkaises

Et voilà qu’on sort de cette bouche de métro, et que ce sentiment de démesure met tous nos sens en éveil. Tous ? Presque. On voit la foule, on voit les buildings, on sent les odeurs qui prennent le nez, on entend ce doux bruit du taxi jaune qui roule et qui klaxonne et on se dit : ça y est !